Pot en faïence vernissée Marie Delafosse
Pot en faïence vernissée
23 cm de hauteur/ 27 cm de diamètre.
Marie Delafosse a été diplômée de l'école Estienne en illustration en 2014. Elle a découvert pendant ces trois années à Paris la céramique, lors d'un stage chez Elise Lefebvre. Elle est alors partie étudier la céramique à l'école des arts décoratifs de Strasbourg, où elle a questionné les liens entre volume et narration. Elle est ensuite allée poursuivre sa formation à la maison de la céramique de Dieulefit dans la Drôme.
Elle pratique la faïence rouge qu’elle engobe en blanc à cru pour la graver ensuite de mots doux, de chevaux, d’amoureux de couronnes et de fleurs…. Après une première cuisson, elle pose ses jus d’oxyde comme une aquarelle.
Elle définit son style comme spontané, généreux et brillant. Il n’y a aucune préparation de dessin, elle aime dessiner au “feeling”.
Pot en faïence vernissée
23 cm de hauteur/ 27 cm de diamètre.
Marie Delafosse a été diplômée de l'école Estienne en illustration en 2014. Elle a découvert pendant ces trois années à Paris la céramique, lors d'un stage chez Elise Lefebvre. Elle est alors partie étudier la céramique à l'école des arts décoratifs de Strasbourg, où elle a questionné les liens entre volume et narration. Elle est ensuite allée poursuivre sa formation à la maison de la céramique de Dieulefit dans la Drôme.
Elle pratique la faïence rouge qu’elle engobe en blanc à cru pour la graver ensuite de mots doux, de chevaux, d’amoureux de couronnes et de fleurs…. Après une première cuisson, elle pose ses jus d’oxyde comme une aquarelle.
Elle définit son style comme spontané, généreux et brillant. Il n’y a aucune préparation de dessin, elle aime dessiner au “feeling”.
Pot en faïence vernissée
23 cm de hauteur/ 27 cm de diamètre.
Marie Delafosse a été diplômée de l'école Estienne en illustration en 2014. Elle a découvert pendant ces trois années à Paris la céramique, lors d'un stage chez Elise Lefebvre. Elle est alors partie étudier la céramique à l'école des arts décoratifs de Strasbourg, où elle a questionné les liens entre volume et narration. Elle est ensuite allée poursuivre sa formation à la maison de la céramique de Dieulefit dans la Drôme.
Elle pratique la faïence rouge qu’elle engobe en blanc à cru pour la graver ensuite de mots doux, de chevaux, d’amoureux de couronnes et de fleurs…. Après une première cuisson, elle pose ses jus d’oxyde comme une aquarelle.
Elle définit son style comme spontané, généreux et brillant. Il n’y a aucune préparation de dessin, elle aime dessiner au “feeling”.
