Pichet en faïence vernissée Jean Nicolas Gérard
Bouteille en faïence vernissée, décor engobe et sgraffito, cuite au gaz.
Hauteur 19.5 cm diamètre 15 cm encolure, base 11.5 cm
Jean Nicolas Gérard aime la simplicité de la terre vernissée :
“On utilise une terre pour faire les pots, une terre pour faire l'engobe et ensuite dans cette terre on rajoute du cuivre du fer ou du cobalt pour faire les couleurs. On recouvre enfin de glaçures. C'est une technique qui est complète : on grave, on met des couleurs, on peut faire de belles formes je trouve que c'est vraiment intéressant. Ca fait presque 40 ans que je fais ça et je suis toujours heureux ! C'est toujours les mêmes matériaux, les terres changent un peu mais c'est toujours cependant très différent ….. Quand je décore je dois être concentré et quand je commence je sais ce que je dois faire : j'anime la pièce: j'ai toujours un peu peur de la page blanche. J'essaie de souligner les volumes et de faire quelque chose de naturel j'anime la surface plus que je ne la décore, je suis influencé par la céramique japonaise qui est très naturelle. J'aime les peintres comme Matisse, Bonnard…. j'aime l'encre de chine chinoise…..
J'aime bien les traces de doigts ça donne de l'humanité au pot ça donne une vie au pot. Les accidents montrent que la vie est là. J'essaye de ne pas trop savoir où je vais aller pour avoir des surprises. Je fais des pièces en plusieurs morceaux : des morceaux tournés et des morceaux faits avec des colombins , on arrive ainsi à de l'inattendu, on sort du rail. C'est une façon de faire évoluer le travail j'aime laisser beaucoup de marques ça montre que ce n'est pas fait par une machine : je suis là !
Bouteille en faïence vernissée, décor engobe et sgraffito, cuite au gaz.
Hauteur 19.5 cm diamètre 15 cm encolure, base 11.5 cm
Jean Nicolas Gérard aime la simplicité de la terre vernissée :
“On utilise une terre pour faire les pots, une terre pour faire l'engobe et ensuite dans cette terre on rajoute du cuivre du fer ou du cobalt pour faire les couleurs. On recouvre enfin de glaçures. C'est une technique qui est complète : on grave, on met des couleurs, on peut faire de belles formes je trouve que c'est vraiment intéressant. Ca fait presque 40 ans que je fais ça et je suis toujours heureux ! C'est toujours les mêmes matériaux, les terres changent un peu mais c'est toujours cependant très différent ….. Quand je décore je dois être concentré et quand je commence je sais ce que je dois faire : j'anime la pièce: j'ai toujours un peu peur de la page blanche. J'essaie de souligner les volumes et de faire quelque chose de naturel j'anime la surface plus que je ne la décore, je suis influencé par la céramique japonaise qui est très naturelle. J'aime les peintres comme Matisse, Bonnard…. j'aime l'encre de chine chinoise…..
J'aime bien les traces de doigts ça donne de l'humanité au pot ça donne une vie au pot. Les accidents montrent que la vie est là. J'essaye de ne pas trop savoir où je vais aller pour avoir des surprises. Je fais des pièces en plusieurs morceaux : des morceaux tournés et des morceaux faits avec des colombins , on arrive ainsi à de l'inattendu, on sort du rail. C'est une façon de faire évoluer le travail j'aime laisser beaucoup de marques ça montre que ce n'est pas fait par une machine : je suis là !
Bouteille en faïence vernissée, décor engobe et sgraffito, cuite au gaz.
Hauteur 19.5 cm diamètre 15 cm encolure, base 11.5 cm
Jean Nicolas Gérard aime la simplicité de la terre vernissée :
“On utilise une terre pour faire les pots, une terre pour faire l'engobe et ensuite dans cette terre on rajoute du cuivre du fer ou du cobalt pour faire les couleurs. On recouvre enfin de glaçures. C'est une technique qui est complète : on grave, on met des couleurs, on peut faire de belles formes je trouve que c'est vraiment intéressant. Ca fait presque 40 ans que je fais ça et je suis toujours heureux ! C'est toujours les mêmes matériaux, les terres changent un peu mais c'est toujours cependant très différent ….. Quand je décore je dois être concentré et quand je commence je sais ce que je dois faire : j'anime la pièce: j'ai toujours un peu peur de la page blanche. J'essaie de souligner les volumes et de faire quelque chose de naturel j'anime la surface plus que je ne la décore, je suis influencé par la céramique japonaise qui est très naturelle. J'aime les peintres comme Matisse, Bonnard…. j'aime l'encre de chine chinoise…..
J'aime bien les traces de doigts ça donne de l'humanité au pot ça donne une vie au pot. Les accidents montrent que la vie est là. J'essaye de ne pas trop savoir où je vais aller pour avoir des surprises. Je fais des pièces en plusieurs morceaux : des morceaux tournés et des morceaux faits avec des colombins , on arrive ainsi à de l'inattendu, on sort du rail. C'est une façon de faire évoluer le travail j'aime laisser beaucoup de marques ça montre que ce n'est pas fait par une machine : je suis là !
